Après la lecture d’un premier ouvrage de Didier Cauwelert s’intitulant : »On dirait nous », je viens d’achever la lecture de « j’ai perdu Albert » du même auteur. Dans ce dernier roman, on retrouve le côté « manipulateur d’âmes » de l’écrivain mais aussi une écriture où on puise tout le plaisir de la lecture.
L’invraisemblance du thème autorise toutes les fantaisies de l’esprit, y compris celle d’héberger une célébrité comme Albert Einstein pour pérenniser à titre posthume sa science à travers un médium ou un apiculteur. Ceci dénote une imagination fertile qui donne finalement lieu à la naissance d’un roman fort agréable à lire.
Un roman qui reste à votre disposition à la bibliothèque de Sancergues. Bonne lecture !
L’invraisemblance du thème autorise toutes les fantaisies de l’esprit, y compris celle d’héberger une célébrité comme Albert Einstein pour pérenniser à titre posthume sa science à travers un médium ou un apiculteur. Ceci dénote une imagination fertile qui donne finalement lieu à la naissance d’un roman fort agréable à lire.
Un roman qui reste à votre disposition à la bibliothèque de Sancergues. Bonne lecture !
Pierre
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